PETITION : Exigeons la dissolution des milices de nervis "antifas" !
14/06/2013
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LIEN DE LA PETITION : http://www.france-petitions.com/petition/325/exigeons-la-...
Lancée le 10-06-2013, sera close dans 5 mois
Cette pétition sera remise aux destinataires suivants :
- Jean-Marc Ayrault (Premier ministre)
- François Hollande (Président de la République)
- Christiane Taubira (Garde des Sceaux, ministre de la Justice)
À l’heure où la dissolution de certaines organisations d’extrême-droite serait étudiée par Jean-Marc Ayrault et son gouvernement, nous demandons que le premier ministre fasse preuve de la même sévérité envers les nombreux groupuscules violents d’extrême-gauche.
Depuis trop longtemps, ces derniers entretiennent en quasi-totale impunité un climat de violence à l’égard de tous ceux qui ne pensent pas comme eux, rassemblés sous l’étiquette gratuite de « fascistes ». Car l’extrême-droite, pour ces bandes violentes, a une définition très vague. Elles l’ont prouvé en tentant d’agresser Anne Hidalgo (candidate PS à la mairie de Paris) ou Gérard Collomb (maire PS de Lyon) !
Tous vêtus de noir, cagoulés ou masqués, armés, casqués, gantés de cuir : les images de ces bandes « antifas » aujourd’hui contraintes à sortir du bois tournent en boucle et font froid dans le dos. Leur esthétique, leur imagerie, leurs discours. Chez ces activistes violents prônant « l’action directe », rien ne semble mener vers le débat démocratique apaisé.
Les manifestations organisées depuis jeudi 6 juin 2013 par les groupuscules d’extrême-gauche se sont soldées par de nombreux incidents (slogans haineux et appels au meurtre, manifestants cagoulés, agressions de militants de droite et de policiers, manifestations sauvages, dégradations, journalistes et élus bousculés) faisant craindre le pire pour les semaines à venir, dans un climat de vengeance mais aussi d’impunité.
Nous demandons donc au gouvernement de faire preuve de la plus grande fermeté face à ces groupuscules indirectement – eux aussi – responsables de la mort de Clément Meric. Les déclarations de certains responsables politiques, comme le Ministre de l’Intérieur Manuel Valls lui-même ou Jean-Luc Mélenchon apportant une sorte de légitimité à ces « chasseurs » (comme ils se définissent eux-mêmes), peuvent laisser craindre de nouveaux drames sans réaction ferme de l’État.
Ensemble, exigeons la dissolution immédiate des groupuscules d’extrême-gauche : signez, diffusez, et relayez massivement notre pétition.
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