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18/01/2011

A l'attention des "libertaires" charognards...


Vous êtes-vous simplement déjà posé la question, en votre for intérieur, et de la façon la plus sérieuse qui soit ?
Au nom de quoi l'homme s'arroge-t-il le droit de vie et de mort sur des êtres sensibles d'autres espèces ?? C'est objectivement se conduire en MAÎTRES (voire en "Dieu" !) autoproclamés. Beaucoup de prétendus libertaires seraient mieux inspiré(e)s de réfléchir à cette criante évidence, au lieu de se croire "supérieurs", "au sommet de la chaîne alimentaire" (sic) ou autres billevesées, et de perpétuer ainsi l'esclavage et le meurtre...

Ce n'est pas là une question de "choix personnels", de "goûts", de diététique ou de régime alimentaire. Le bout de cadavre dans votre assiette, lui, n'a guère eu de "choix". Si l'on prétend lutter contre toute forme d'exploitation et de domination, la moindre des choses est déjà d'arrêter de nier le droit des autres espèces à la vie, à la liberté et au bien-être.

De surcroit, on n'a absolument aucun besoin de ce genre de "produits" pour vivre, et même pour très bien vivre. A partir de ce simple constat, la question ne se pose même plus... Industriels ou pas, l'esclavage et le meurtre demeurent ce qu'ils sont. On n' "améliore" pas, on n' "aménage" pas et on n' "adoucit" pas l'esclavage : on l'abolit. Purement et simplement.

                                                                                            Hans CANY

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