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17/01/2015

Mise au point : POUR QUI VOUS/ME PRENEZ-VOUS ?

Je sais qu'un certain nombre de "vedettes" (plus ou moins célèbres) lisent régulièrement ou occasionnellement mes écrits, et qu'une partie d'entre elles aimeraient sincèrement faire plus ample connaissance avec moi. Seulement, si elles attendent que je prenne l'initiative de venir vers elles, les célébrités en question risquent d'attendre longtemps...

N'étant pas du tout enclin à reconnaître quelque rapport hiérarchique que ce soit, je ne suis pas disposé, par tempérament, à endosser le rôle du gueux venant prêter allégeance et mendier un semblant de reconnaissance auprès de son seigneur.

Aussi illustres soient-ils, et quel que soit leur degré de notoriété, ceux et celles qui s'intéressent à ce que je fais, dis et écris sont invités à faire le premier pas, car je n'ai aucune envie de me faire éconduire avec hauteur et suffisance. Si vous me jugez digne d'intérêt, faites l'effort de venir vous aussi sur mon mur Facebook et/ou sur mes divers blogs, de "liker", de commenter etc. Je ne vois pas au nom de quoi les efforts devraient se faire à sens unique.

Je n'admets que les rapports D'EGAL A EGAL, qui que vous soyez , quels que soient votre renommée, votre âge, votre statut social, votre titre, votre grade, vos activités et responsabilités, ou autres. Cela vous paraîtra peut-être présomptueux de ma part, mais c'est à prendre ou à laisser. Si cette formule ne vous convient pas, allez au Diable. Et qu'on ne s'inquiète pas outre mesure à mon sujet : si vous choisissez de me snober, je pense que je m'en remettrai vite. Merci.

Hans CANY

 

 

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23:26 Publié dans Propos du paria | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : hans cany |  Facebook | | | |

Jean-Marie LE PEN : "L'attentat contre Charlie Hebdo porte la signature de services secrets"

 

 

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Voici quelques déclarations de Jean-Marie LE PEN, président d'honneur du Front National, au sujet des tragiques affaires terroristes qui viennent d'ébranler Paris, et de plonger dans l'hystérie la France entière :


"L'exécution de Charlie Hebdo porte la signature d'une opération des services secrets. Mais nous n'avons pas de preuves. Je ne pense pas que les organisateurs de ce crime soient les autorités françaises mais elles ont permis que ce crime ait lieu. Pour l'instant, ce ne sont que des soupçons."

(...)

"Ces passeports oubliés des frères Kouachi me font penser à l'avion en feu du 11 septembre 2001 et du passeport appartenant au terroriste retrouvé intact comme par magie. On nous dit désormais que les terroristes sont des idiots et c'est pour cela qu'ils ont soi-disant laissé leurs papiers dans la voiture"


Je salue la grande clairvoyance de Jean-Marie LE PEN, qui une fois de plus abonde dans le même sens que moi (et pourtant, je vous le jure : nous ne nous sommes aucunement concertés ^^). Il se montre, dans le cadre des récentes affaires terroristes parisiennes, nettement plus perspicace que beaucoup de gens, y compris de sa propre famille politique, voire même que certains de ses proches.

Bien sûr, et notamment lorsque l'on mène un combat contre l'immigration et l'islamisation, il peut être tentant, de prime abord, de se contenter de relayer tout bêtement les thèses officielles. C'est beaucoup plus simple, cela évite de se poser des questions dérangeantes, et cela apporte de surcroit de l'eau au moulin de la "cause". Seulement, la recherche de la vérité exige de voir un peu plus loin que le bout de son nez. Ce qu'hélas trop de gens ne daignent même pas faire, aveuglés qu'ils sont par leurs haines, leurs partis pris et leurs passions exacerbées...

A titre personnel, non seulement je hais tout autant l'islamisme que l'islamisation de la société, mais de surcroit je n'aime même pas l'islam tout court, même celui que l'on dit "modéré". Je ne m'en suis jamais caché. Seulement, les choses sont ici beaucoup plus complexes et pernicieuses que ce qu'on essaie de nous faire croire de part et d'autre.

Se contenter de tout mettre sans la moindre nuance sur le dos des islamistes -voire sur le dos des musulmans en général- n'est pas seulement injuste : c'est aussi très dangereux, et cela ne contribue en rien à l'émergence de la vérité. Un minimum de réflexion, de bon sens et d'honnêteté intellectuelle sont ici absolument indispensables.

Ne nous faisons pas les idiots utiles de ceux qui, dans l'ombre, tirent les ficelles, et se réjouissent d'avance en encourageant une surenchère qui ne pourra au final nous conduire qu'à la guerre civile dans toute son horreur. Pour leur plus grand profit... Prudence et équité de jugements sont aujourd'hui plus nécessaires que jamais. J'invite tout le monde, les "islamophobes" comme les "islamophiles", à méditer ces quelques paroles. Puissent-elles contribuer à leur ouvrir les yeux, et à les inciter à davantage de sagesse.

Hans CANY

 

En guise de conclusion, voici le message que je tiens à vous délivrer, et que je vous encourage à relayer :

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18:52 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : hans cany |  Facebook | | | |

Questions autour de la carte d’identité d’un terroriste

 

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Une opinion de Jean-Claude Paye, sociologue, auteur de "L’Emprise de l’image, De Guantanamo à Tarnac" (Editions Yves Michel 2012)

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Les enquêteurs ont retrouvé la carte d’identité de l’aîné des frères Kouachi dans la voiture abandonnée dans le nord-est de Paris. A partir de ce document, la police s’aperçoit qu’il s’agit d’individus connus des services antiterroristes, la "traque" peut alors commencer.

Comment des tueurs, commettant un attentat avec un sang-froid et une maîtrise qualifiés de professionnels, peuvent-ils commettre une telle erreur ? Ne pas s’encombrer de ses papiers fait pourtant partie de l’abc du simple cambrioleur.

Cependant cela nous étonne à peine. Un papier d’identité, trouvé miraculeusement et désignant l’auteur des attentats venant d’être commis, est devenu un classique. Il s’agit d’un événement qui se répète, une compulsion de répétition désignant à chaque fois un coupable appartenant à une "mouvance jihadiste".

Dans la version officielle du 11 septembre, le FBI affirmait avoir retrouvé le passeport intact de l’un des kamikazes, Satam Al Suqami, à proximité d’une des deux tours complètement pulvérisées par les explosions dégageant une température capable de faire fondre l’acier des structures métalliques d’un building, mais laissant intact un document en papier. Le crash du quatrième avion, s’écrasant en rase campagne à Shanksville, a également permis à la police fédérale de retrouver le passeport de l’un des terroristes présumés. Ce document partiellement brûlé permet quand même d’identifier la personne, grâce à la présence de son nom, de son prénom et de sa photo. Cette possibilité est d’autant plus troublante que du crash de l’avion ne subsistait qu’un cratère d’impact, point de morceau de fuselage ou de moteur, seul restait ce passeport partiellement brûlé.

Depuis le 11/9, l’invraisemblable fait partie de notre quotidienneté. Il est devenu le fondement de la vérité. La Raison est bannie. Il ne s’agit pas de croire ce qui est dit, mais bien la voix qui parle, quel que soit le non-sens de l’énonciation. Plus celui-ci est patent, plus la foi en ce qui est affirmé devient indéfectible. L’invraisemblable devient ainsi la mesure et la garantie du vrai.

Le discours portant sur les affaires Merah ou Nemmouche en atteste. Merah, encerclé par des dizaines de policiers, serait parvenu, en trompant la surveillance des forces spéciales, à sortir de son domicile et ensuite à y retourner, afin de se faire tuer par un "sniper" qui aurait tiré en "légitime défense" avec des "armes non létales".

Quant à Nemmouche, l’auteur de la tuerie au Musée juif de Bruxelles, il ne se serait pas débarrassé de ses armes, car il cherchait à les revendre. Pour ce faire, il aurait fait le choix du mode de transport international le plus surveillé, en les transportant dans un bus assurant la liaison Amsterdam, Bruxelles, Marseille. Un "contrôle de douane inopiné" aurait permis de le confondre et de l’arrêter.

Dans tous les cas, le caractère déréalisant de ce qui est présenté nous installe dans la sidération. Tel le regard de la Gorgone, il nous pétrifie. Il nous montre que quelque chose ne va pas dans le discours. Il exhibe une faille qui n’a pas pour effet de nous tromper, mais de nous morceler. Le spectateur ne peut alors retrouver un semblant d’unité que par un surcroît d’adhésion à ce qui est énoncé.

 

Source : LALIBRE.BE

 

 

02:11 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | | | |